Je mets Dieu au pluriel, pour m'assurer de sa fragmentation. Je le mets aussi en mots. Il est ce qui en moi ne saurait se contenter du peu que je suis.

Les mots qui ont la langue trop longue, on les raccourcit.

Si un compositeur pouvait dire ce qu'il avait à dire avec des mots, il ne prendrait pas la peine d'essayer de le dire en musique.

Comme on fait son âme on se couche dans les mots.

Si votre coeur est une rose, votre bouche dira des mots parfumés.

Les mots sont comme les sacs : ils prennent la forme de ce qu'on met dedans.