L'impossible est le seul adversaire digne de l'homme.

L'adversaire peut à la fois avoir le tort de parier que Dieu n'est pas, et mettre dans le mille lorsqu'il découvre et dénonce les raisons basses que nous avons de croire en Dieu.

Quand je veux estimer le danger que représente pour moi un adversaire, je soustrais d'abord sa vanité de ses autres qualités.

Si nous parlons la langue de l'adversaire, nous nourrissons leur propagande et leur mythologie.

Parvenir à battre son adversaire sans l'avoir affronté est la meilleure conduite.

Bien que tout vice verse dans le coeur humain le poison de l'adversaire, c'est l'envie qui permet au serpent de cracher son venin le plus secret et de vomir la peste de sa méchanceté pour la faire partager.