Le pays dépend bien souvent du coeur de l'homme : il est minuscule si le coeur est petit, et immense si le coeur est grand.

C'est à la poésie que tend l'homme. Il n'y a de connaissance que du particulier. Il n'y a de poésie que du concret.

Je sais enfin ce qui distingue l'homme de la bête : ce sont les ennuis d'argent !

Je m'émeus du spectacle de la dégradation de l'homme par l'homme.

Ce n'est pas le temps qui est sous le pouvoir de l'homme, mais l'homme qui est, le pauvre, sous le pouvoir du temps.

Plus sa vie est infâme, plus l'homme y tient ; elle est alors une protestation, une vengeance de tous les instants.