La seule satisfaction réelle de l'homme, c'est de provoquer la jouissance de la femme.

Le vrai amour ce n'est pas de vivre avec une femme parce qu'on l'aime, mais de l'aimer parce qu'on vit avec elle.

La connaissance qu'a un seul homme de la faute de cent autres ne lui sert à rien.

On marie les femmes avant qu'elles soient rien et qu'elles puissent rien être. Un mari n'est qu'une espèce de manoeuvre qui tracasse le corps de sa femme, ébauche son esprit et dégrossit son âme.

Comme avec des ciseaux, la femme, avec ses cuisses qui s'ouvrent, coupe les gerbes de nos désirs. Nous sommes las d'avoir fauché tant de désirs dans le beau champ de notre amour.

Une des dispositions constantes de l'homme est de souhaiter être ailleurs que là où il est.