Le vrai bonheur est un mythe. Mieux vaut alors se leurrer en se jouant à soi-même et aux autres un bonheur factice.

On a tous en nous une petite parano, on pense que la vie des autres est mieux, alors que ce n'est pas vrai.

Quand je pense à un nouveau roman, je pense toujours à Auschwitz.

Les erreurs passent, il n'y a que le vrai qui reste.

Chaque système est vrai par ce qu'il propose et faux par ce qu'il exclut.

Le roman sert à entendre et percevoir une possible relation au monde qui n'est pas la plus communément identifiée et répandue.