Face à l'état du monde du travail aujourd'hui, ce n'est pas de la mélancolie que je ressens, mais un désespoir absolu, une sensation de débâcle.

Quand l'esprit s'exprime, c'est l'art qui s'anime.

La démocratie, qui semble être la règle du monde moderne, et qui n'en est que la punition.

Je ne veux pas que la peur change de camp, que la présomption passe de celui qui trouble l'ordre public à celui qui le défend. Si nous acceptons cette facilité de l'esprit sous le coup d'une émotion légitime et partagée, la République bascule.

Celui qui habite vraiment dans l'écriture est traversé d'une haleine divine, il appartient au monde de la vraie création mystérieuse, un monde qui ne peut pas déboucher sur l'autodestruction.

Le changement du monde n'est pas seulement création, progrès, il est d'abord et toujours décomposition, crise.