En vieillissant, je suis plus détendue et moins préoccupée par ce que les gens pensent de moi.

De plus en plus de gens jouent avec les mots, et de moins en moins avec les idées.

Il me fallut quitter cette joie tranquille [de la campagne] et revenir, poussé par cette superstition des villes qui fait que tant d'hommes aiment encore mieux y être broyés que de ne pas faire partie de ce « mouvement » dont ils sont d'ailleurs les douloureux et inconscients rouages.

L'homme n'est qu'un supplément négligeable dans cet Eden dont il aspire à sortir.

On comprend les gens qui nous ressemblent.

Taisez aux gens leur âge réel et ils vivront beaucoup plus vieux.