Il fait bon d'ouvrir la porte au rêve : on cherche la magique extase de la poésie dans la lecture des chef-d'oeuvre qu'elle a produits.

Il ne suffit pas d'avoir de l'appétit, il faut aussi avoir de l'estomac.

L'amour, après tout, n'est qu'une curiosité supérieure, un appétit de l'inconnu qui vous pousse dans l'orage, poitrine ouverte et tête en avant.

Tuer les nuances c'est tuer la liberté, l'appétit de créer, l'amour, le bonheur. C'est déchirer la trame étincelante de la vie et la changer en haillon.

La lecture est pour moi le contraire de l'écriture. Je n'ai pas de rites : c'est pour me détendre, rire, pleurer, rêver.

Les dimanches ratés tournent en robe grise au rythme languissant des valses de l'ennui.