Le mépris est la première victoire sur le monde ; le détachement, la dernière, la suprême.

J'éprouve toujours du plaisir à jouer dans un pré : là, il n'y a aucune obligation de victoire.

De collection en collection, la même image est présente à mon esprit : celle de Victoire, mannequin sublime et muse merveilleuse.

L'Allemand n'arrive pas à comprendre ce que Napoléon plus intelligent pourtant, saisissait à peine : à savoir que la victoire, très amusante pour le vainqueur, l'est infiniment moins pour le vaincu.

Un jeune général qui a besoin d'une victoire livre souvent sans motif mainte bataille sanglante. L'avantage d'un général éprouvé, c'est qu'il n'est pas obligé de combattre pour montrer au monde l'art de vaincre.

Je me suis mis d'accord avec moi-même, ce qui est bien la plus grande victoire que nous puissions remporter sur l'impossible.