Nous jugeons qu'une vie de chien est approximativement le septième de celle d'un homme. Mais un président ne mérite même pas une vie de chien.

L'amour... Il n'y a que cela qui ait de l'importance. On peut aimer un homme, on peut aimer Dieu, on peut aimer ses semblables, tout cela au fond, c'est pareil.

Tout homme porte en lui une rencontre, un souvenir expliqué, peut-être une pensée, qui se modulent sur quelques mesures musicales.

Les paroles de l'homme sont comme la flèche qui va droit au but, celles de la femme ressemblent à l'éventail brisé.

Le pire de tout c'est l'habitude. L'homme perd son humanité et l'énormité de la douleur d'autrui ne compte plus pour lui.

Il manque quelque chose à l'homme qui ne s'est jamais senti éperdu.