Citations Courir

L'étude a cela de bon qu'elle nous délivre du fardeau de notre oisiveté, et qu'elle nous empêche de courir hors de chez nous, pour aller dire et écouter des riens, d'un bout de la ville à l'autre.

Sommes-nous pas un peu semblables aux moutons ?... Nous fuyons celui qui, simplement, nous dérange, Pour courir dans les bras de celui qui nous tond et qui nous mange.

Ça n'existe pas les adultes, c'est une attitude. On n'en finit pas de courir après les rêves qu'on a eu quand on était petits.

Les paroles d'amour sont comme les flèches lancées par un chasseur. Le cerf qui les a reçues continue à courir et l'on ne sait pas tout de suite que la blessure est mortelle.

Les sportifs, le temps qu'ils passent à courir, ils le passent pas à se demander pourquoi ils courent. Alors, après on s'étonne qu'ils soient aussi cons à l'arrivée qu'au départ !

Je vais te faire courir moi tu vas voir, rouquin... PD !

Rien ne sert de courir si l'on n'est pas pressé.

Ne crois pas que c'est en m'ignorant que je vais courir après toi ! Non, au contraire... C'est comme sa que tu me perdras !

Dans les manifs, rien ne sert de partir à point, il faut courir.

Le poste où l'on s'est soi-même placé, dans la pensée qu'il était le meilleur, ou qu'il nous était assigné par un chef, il faut y demeurer et en courir les risques sans tenir compte de la mort ni de rien d'autre sinon du déshonneur.

Rosa Parks s'assit pour que Martin Luther King puisse marcher. Martin Luther King marchait pour qu'Obama puisse courir. Obama court pour que nous puissions tous voler.

Rien ne sert de courir, il faut partir à point.

Ne crois pas que c'est en m'ignorant que je vais courir après toi ! Non, au contraire... C'est comme ça que tu me perdras.

J'ai des mains pour te toucher J'ai des bras pour te serrer Des pieds pour courir vers toi Pour t'appeler j'ai ma voix Et puis, j'ai mon coeur encore Pour t'aimer toujours plus fort.

Courir après les femmes n'a jamais fait de mal à personne. C'est les rattraper qui est dangereux.

Le courage, le vrai, ça n'est pas d'attendre avec calme l'événement ; c'est de courir au devant, pour le connaître le plus tôt possible, et l'accepter.