La mémoire est toujours aux ordres du coeur.

Il y a de multiples façons de froisser une femme ; une seule de se faire pardonner : lui parler du coeur.

Les mots ne sont que des mots, et je n'ai jamais ouï dire que dans un coeur meurtri on pénétrât par l'oreille...

Il est bien difficile de dire si l'homme naît méchant ou s'il le devient tout de suite.

A trente ans, les hommes ont déjà fini de se connaître par le coeur. Le calcul leur suffit.

La mémoire, comme le coeur, se laisse abuser, et souvent pas celui-ci comme de juste.