Les isolés aiment manger parce que manger est de l'amour, une pauvre sorte d'amour, et recouvre le malheur.

En amour, tout s'annule au fur et à mesure. Tout est à refaire à chaque instant.

Le seul fait d'être en vie rend la vie plus acceptable que la mort.

L'amour est une rose, chaque pétale une illusion, chaque épine une réalité.

Les hommes sont comme les lions, comme toutes les bêtes, comme tous les êtres vivants. La faim les rend féroces. Et qu'est-ce que la pauvreté, sinon une faim généralisée ?

Ne pas comprendre la langue du seul ami que l'on possède, ça fait peur.