L'homme qui s'adjuge, en vertu de sa supériorité intellectuelle, une plus large part de biens terrestres, perd le droit de maudire l'homme fort qui, aux époques de barbarie, asservissait le faible en vertu de sa supériorité physique.

Rien ne peut entrer en l'homme qui ne corresponde en quelque façon à un besoin d'expression.

Le monde a commencé sans l'homme et il s'achèvera sans lui.

L'homme brave va là où il est né ; le chien va là où il a été nourri.

La conscience, c'est Dieu présent dans l'homme.

Il est dans la nature de l'homme d'endurer patiemment la nature des choses, mais non la mauvaise volonté d'autrui.