Le trop d'attention qu'on met à observer les défauts d'autrui fait qu'on meurt sans avoir eu le temps de connaître les siens.

Un coeur noble ne peut soupçonner en autrui La bassesse et la malice Qu'il ne sent point en lui.

Il est certain que l'attention que nous donnons aux maux d'autrui nous fait oublier les nôtres. C'est même un fait dont la cause est physique.

Il n'est qu'une folie : convoiter ce qui est à autrui.

L'homme est en permanence conditionné par autrui. Tant qu'il se croit heureux, il ne remet pas en cause ce conditionnement.

On reconnaît l'aristocrate à la pudeur, au respect qu'il a pour la pudeur d'autrui.