Tout le monde sait qu'un atterrissage réussi est celui auquel vous survivez. Mais peu savent qu'un bon atterrissage est celui où vous pouvez réutiliser l'avion.

Ce qui m'importe, c'est de montrer que la seule question qui vaille, pour tout être humain, est de tenter de comprendre le monde, de s'y inscrire.

C'est grave de s'obliger à ressembler à tout le monde : cela provoque des névroses, des psychoses, des paranoïas.

Ce n'est pas un hasard s'il y a toujours plus de monde aux enterrements qu'aux mariages.

Que vaut le temps, s'il n'en reste plus pour s'émouvoir, s'attendrir, aimer ? Ce n'est pas nous qui décidons de notre temps, mais le temps qui tisse les jours, fait et défait les volontés, les aspirations de l'homme.

C'est par le malentendu universel que tout le monde s'accorde.