La liberté est. Elle a cela de commun avec Dieu qu'elle exclut le pluriel.

Il faut reconnaître tout être humain, sans chercher à savoir s'il est blanc, noir, basané ou rouge ; lorsque l'on envisage l'humanité comme une seule famille, il ne peut être question d'intégration ni de mariage inter-racial.

L'existence de Dieu implique l'abdication de la raison et de la justice humaine, elle est la négation de l'humaine liberté et aboutit nécessairement à un esclavage non seulement théorique mais pratique.

Si Dieu devait apparaître aux affamés, il n'oserait leur apparaître que sous forme de nourriture.

Que dire ? L'homme n'est qu'une méprise de Dieu ? Ou bien Dieu une méprise de l'homme ?

Quand les hommes ne peuvent changer les choses, ils changent les mots.