Tu ne connaîtras jamais la fin de l'histoire en faisant demi-tour à deux minutes de la victoire.

Ce qui compte, c'est d'être ému comme les personnages ; ne pas être ému par les personnages. La sentimentalité est à rayer du vocabulaire de l'acteur.

Dieu qui voit nos larmes à notre insu, et qui, dans son immuable sérénité, nous semble n'en pas tenir compte, a mis lui-même en nous cette faculté de souffrir pour nous enseigner à ne pas vouloir faire souffrir les autres.

Au final tout ira bien. Si ça ne va pas, c'est que ce n'est pas la fin.

Il y a une voie qui paraît droite à l'homme, dont la fin néanmoins conduit à la mort.

On lit comme on aime, on entre en lecture comme on tombe amoureux : par espérance, par impatience. Sous l'effet d'un désir, sous l'erreur invincible d'un tel désir : trouver le sommeil dans un seul corps, toucher au silence dans une seule phrase.