Le sexe, c'est un millier de femmes. Une femme, un millième de sexe.

Tant que nous sommes ici-bas, c'est comme si nous étions dans la main du potier : si le vase tombe de ses mains, il peut y porter remède et le refaire.

Les femmes n'ont point de plus grands ennemis que les femmes.

Peutêtre peut-on être optimiste parce qu'on a le droit d'espérer que Dieu existe.

Les femmes, c'est comme la soupe, il ne faut pas les laisser refroidir.

Oui, je sais, on va encore dire que je parle mal des femmes, mais moi je parle des femmes que je connais, que j'aime et qui savent que je les aime. Les autres, je n'en ai rien à battre, j'ai mieux à la maison !