Il semble prudent de remercier un auteur pour son livre avant de le lire. Cela évite d'avoir à mentir.

Il est aussi naturel à celui qui emprunte à autrui sa pensée d'en cacher la source, qu'à celui qui retrouve en autrui sa pensée, de proclamer cette rencontre.

Il faut qu'en premier lieu, tu observes tes propres défauts et les qualités d'autrui plutôt que le contraire.

Ne crie pas que tu donnerais ta vie pour tes principes, pour la vérité ; mais tâche de ne jamais mentir.

A tromper autrui, l'on risque de se duper soi-même.

Quand bien nous pourrions être savants du savoir d'autrui, au moins sages ne pouvons-nous être que de notre propre sagesse.