Les mots qui ont la langue trop longue, on les raccourcit.

La vie et la mort sont des événements trop précis, trop implacables pour être accidentels.

Il vaut mieux agir trop rapidement qu'attendre trop longtemps.

Et surtout n'oubliez pas que trop n'est jamais assez.

Les accidents de métro, chemins de fer, tramways, etc..., ont ceci de bon, comme les guerres, qu'ils éclaircissent le trop-plein misérable de la population.

Plus personne ne va où va la foule... il y a trop de monde.