L'homme absurde multiplie encore ici ce qu'il ne peut unifier.

La façon dont on raconte l'Histoire contemporaine ressemble à un grand concert où l'on présenterait d'affilée les cent trente-huit opus de Beethoven mais en jouant seulement les huit premières mesures de chacun d'eux.

De la notion que l'on a de Dieu dépend de la manière de concevoir la destinée de l'homme.

Si l'homme savait ce qu'est le tonnerre, il deviendrait cendre et poussière.

L'homme a du génie lorsqu'il rêve.

Il arrive que l'histoire repasse les plats mais ce sont rarement les meilleurs.