Je reste convaincu que le plus bel hommage qu'on puisse rendre à Charlie, c'est de continuer le boulot. Parce que rire, se moquer, c'est résister, c'est vivre.

Le rire, comme les essuie-glaces, permet d'avancer même s'il n'arrête pas la pluie.

Si cinquante millions de gens disent une sottise, ça n'en reste pas moins une sottise.

Je déteste l'émotion ; c'est trop long, beaucoup plus long que la joie et le rire.

Entre amis, il est si beau que le silence soit d'or, mais le rire bon et frais l'est beaucoup plus encore.

Depuis deux mille ans, ceux qui ont ri et fait l'éloge du rire ont cheminé en marge du judéo-christianisme.