C'est pas parce qu'on demande rien qu'on sait tout.

En cette nouvelle année, on ne demande pas grand-chose : du travail et de la santé.

On me demande constamment comment garder un pied dans deux mondes contrastés - l'un dans l'industrie du divertissement, fondé sur la richesse et l'indulgence, et l'autre dans le travail humanitaire. Pour moi, c'est moins une question de savoir comment faire cela, et plus une question de savoir comment ne pas le faire ?

Le peuple est un souverain qui ne demande qu'à manger : sa majesté est tranquille, quand elle digère.

Le mal est facile, le bien demande beaucoup d'efforts.

Je crois d'ailleurs que l'amitié, comme l'amour dont elle participe, demande presque autant d'art qu'une figure de danse réussie. Il y faut beaucoup d'élan et beaucoup de retenue, beaucoup d'échanges et de paroles et beaucoup de silences.