Il faut sans cesse et sans cesse passer par toutes les étapes de la désillusion, se retrouver seul et toucher le fond de sa détresse. Choisir le difficile, l'impossible, la nuit, ce qui n'est pas dit. Ecrire est à ce prix. Vivre aussi.

Nous deviendrons réellement libres lorsque nous aurons réappris à dépasser la mort, lorsque nous aurons franchi cette frontière mentale qui permet l'harmonie avec soi-même.

Un bon maître a ce souci constant : enseigner à se passer de lui.

Nous ne sommes pas riches de ce que nous possédons mais de ce dont nous pouvons nous passer.

La bave du crapaud n'empêche pas la caravane de passer !

Lorsque nous passons le temps en faisant de la musique quelque chose dans le temps cesse de passer.