La splendeur du monde s'est enrichie d'une beauté nouvelle : la beauté de la vitesse.

Penser, c'est la moitié de la vitesse.

Il ne faut jamais aller plus vite que sa vitesse.

L'horreur d'un accident qu'on découvre sur sa route provient de ce qu'il est de la vitesse immobile, un cri changé en silence (et non pas du silence après un cri).

Je privilégie la vitesse à la précision, car le coût d'un retard dépasse de loin celui d'une erreur.

Il faut être imaginatif, car le XXIè siècle ne sera pas celui de la vitesse, mais celui des idées. Parce que la vitesse n'est rien sans contenu.