J'ai le sentiment que les différences de classe sociale ne sont pas justifiées et qu'elles ne reposent en fin de compte que sur la violence.

On ne meurt jamais, on ne fait que changer de nature comme on change de culottes et la fin d'un être est toujours le commencement d'une nouvelle forme de vie.

La fin, quand c'est fini, comment le sait-on, comment fait-on, comment ça finit ?

Quand on aime quelqu'un, on a toujours quelque chose à lui dire ou à lui écrire, jusqu'à la fin des temps.

On dit : retracer une vie. Mais les arabesques et méandres dessinent à la fin un motif plutôt indiscernable : juste une forme évidée. Peut-être ne fait-on que cela : broder sur la musique du temps, avec parfois des cassures.

Quand je pense à mon père, je ne peux pas m'empêcher de comparer nos temps, nos curiosités, no centres d'intérêt...Allons! En cette fin de siècle, nous prêtons beaucoup moins d'attention aux gens qui nous entourent, nous n'en avons plus le [...] ►