Entendre ou lire sans réfléchir est une occupation vaine ; réfléchir sans livre ni maître est dangereux.

Ecologiser la gauche, ce n'est pas la repeindre en vert, avec un arbre et un oiseau dans le paysage...

La ville, pour quelqu'un qui ne sait pas lire, c'est d'abord des pistes d'odeurs, un bruit de fond, des éclairs et des chatoiements.

Un livre vous déplaît : qui vous force à le lire ? Laissez mourir un fat dans son obscurité : un auteur ne peut-il pourrir en sûreté ?

Le baiser est un fruit qu'il faut cueillir sur l'arbre.

Le délire est sans conteste plus beau que le doute, mais le doute est plus solide.