Un savoir multiple n'enseigne pas la sagesse.

Certaines gens voient comme si leurs yeux étaient au bout d'une perche, très loin de leur cerveau.

Que d'hommes se pressent vers la lumière non pas pour voir mieux, mais pour mieux briller.

Le travail est toujours personnel et on ne le fait bien qu'à condition de savoir à quoi il sert et d'en voir les résultats. Et ce n'est qu'à cette condition qu'on peut arriver à l'aimer.

Ecrire, publier, c'est comme aimer. On plonge les yeux fermés.

Je crois que tout se passe pour une raison, même si nous ne sommes pas assez sages pour le voir.