Les femmes ont le droit de travailler où elles veulent, à condition de préparer le dîner à leur retour à la maison.

Quand on n'avait rien à manger à la maison, mon père disait : « Ce n'est rien, Dieu nous le rendra. » Et il nous l'a rendu au centuple. On n'était pas particulièrement croyants, mais la phrase nous donnait de l'espoir.

Les enfants se rendent compte qu'il y a des invités à la maison quand ils entendent leur mère rire aux plaisanteries que fait leur père.

Une femme laide, c'est le trésor d'une maison : cela évite bien des préoccupations.

Quand j'étais petit à la maison, le plus dur c'était la fin du mois... Surtout les trente derniers jours !

La maîtresse de la maison doit toujours s'assurer que le café est excellent ; et le maître, que les liqueurs sont de premier choix.