La plupart des femmes n'ont guère de principes ; elles se conduisent par le coeur, et dépendent pour leurs moeurs de ceux qu'elles aiment.

Les hommes passionnés aiment souvent, les femmes passionnées aiment longtemps.

Dieu, dans sa divine prévoyance, n'a pas donné de barbe aux femmes, parce qu'elles n'auraient pas su se taire pendant qu'on les eût rasées.

On peut compter sur la constance des femmes, quand on n'en exige pas même l'apparence de la fidélité.

La plupart des scènes de nu sont inutiles. Les femmes sont souvent traitées comme des objets.

Il y a tant de femmes qui, le lendemain de leur mariage, sont veuves du mari qu'elles avaient imaginé.