L'enseignement des lettres est à la littérature ce que la gynécologie est à l'érotisme.

Le genre humain a toujours été en progrès et continuera toujours de l'être à l'avenir : ce qui ouvre une perspective à perte de vue dans le temps.

Déconnecté de toute visée de civilisation ou d'humanisme, le progrès n'a plus d'autre justification que son propre mouvement.

La méchanceté est l'esprit de la critique, et la critique est à l'origine du progrès et des lumières de la civilisation.

C'est joli, le progrès ? Demain, quand on offrira un livre à un gamin, il le tournera dans tous les sens pour savoir où il faut mettre les piles.

On se complaît à ne surtout pas envisager les dégâts du progrès.