Le service public n'est pas désincarné. Ce sont des hommes et des femmes qui le font vivre, c'est un esprit qui l'habite.

Le moi, après avoir pris connaissance de la réalité, choisit le moyen de prendre pour s'y adapter.

A force de vivre au milieu des tableaux, on finit par se taire ; on vit surtout avec les yeux.

Prendre les filles pour ce qu'elles ne sont pas et les laisser pour ce qu'elles sont.

«Il y a des moments où l’on ne veut pas penser à ce qui est correct ou à ce qui ne l’est pas, où l’on veut seulement vivre, croiser les doigts et espérer que tout ira pour le mieux»

L'humanité préfère à la vie des raisons de vivre.