Ne fais jamais rien contre ta conscience, même si l'Etat te le demande.

Il ne faut jamais perdre de vue le proverbe italien : un et un font deux.

Ce qui est pardonnable est d'avance pardonné. D'où l'aporie : on n'a jamais à pardonner que l'impardonnable.

On passe tant d'heures dans la vie à remettre à plus tard ce qui doit souffrir ; on ne perd jamais à surseoir.

Il faut voir le maximum d'oeuvres et prendre son temps pour les regarder, un peu comme l'oenologue goûte le vin.

Notre véritable sentiment n'est pas celui dans lequel nous n'avons jamais vacillé, mais celui auquel nous sommes le plus habituellement revenus.