Les mouvements de l'homme extérieur vous révèlent les changements survenus dans l'homme intérieur.

Un homme seul est toujours en mauvaise compagnie.

L'homme bon ne va jamais assez loin, le méchant va toujours trop loin, en sorte que tous les deux manquent leur but.

La littérature, comme les religions, a toujours aspiré à l'absolu en oubliant le cruel présent, quotidien, le seul en définitive qui compte pour l'homme.

Le grand homme est comme l'aigle ; plus il s'élève, moins il est visible, et il est puni de sa grandeur par la solitude de l'âme.

Tout homme doit être respecté comme une fin absolue en lui-même; et c'est un crime contre la dignité qui lui appartient en tant qu'être humain, de l'utiliser comme un simple moyen à des fins extérieures.