La racine de la vie est la femme qu'on aime.

Les plaisirs de ce monde pourraient bien être les supplices de l'enfer, vus à l'envers, dans un miroir.

La contemplation du corps de la femme doit être une réponse rassurante à l'angoisse du monde.

Ne pas aimer les femmes, chez un homme, c'est une attitude. Ne pas aimer les hommes, chez une femme, c'est une pathologie.

Le monde change, et avec lui les hommes et la France elle-même. Seul l'enseignement français n'a pas encore changé. Cela revient à dire qu'on apprend aux enfants de ce pays à vivre et à penser dans un monde déjà disparu.

La guerre est le paradis des soldats et l'enfer des enfants.