Si toute une salle, debout, applaudit, c'est souvent parce que l'un des spectateurs s'était vivement levé dans l'espoir d'arriver le premier au parking.

Le seul uniforme supportable est celui du bain de vapeur.

Le public vient de rire aux oeuvres des auteurs comiques, mais il est bien le seul.

Si quelque chose ne va pas, ce ne peut pas être la faute d'un seul individu. Personne ne monopolise jamais le "bon" côté.

Une société n'offrant comme perspective qu'une compétition sans merci où les soi-disants meilleurs gagnent en écrasant les plus faibles et les moins combatifs ne me semble pas porter l'espoir d'un avenir particulièrement radieux.

Quelle malchance a pu dénaturer l'homme - seul vraiment né pour vivre libre - au point de lui faire perdre la souvenance de son premier état et le désir de le reprendre ?