La grande ruse, c'est que les choses soient comme elles sont.

Le Bourgueil rend bavard mais ne facilite pas l'élocution.

C'est intéressant de jouer un politicien qui fait bouger les choses.

Les choses que l'on désire assez fort finissent toujours par se produire. C'est ce que les gens, superficiellement, appellent la chance.

Il faut revenir au théâtre pour redevenir attentif à notre destin dans la langue et saisir le grand mouvement de nos vies, que la scène restitue et rend visible.

Une pensée qui me rend parfois floue : Suis-je - ou les autres sont-ils fous ?