Personne ne niera que la vie est horrible, que c'est une suite d'angoisses sans fin. Il n'y a qu'une façon de passer à travers, c'est de ne pas y penser.

Oh, comme il est misérable de n'avoir personne pour partager vos chagrins et vos joies et, lorsque votre coeur est lourd, de n'avoir aucune âme à qui vous pouvez verser vos malheurs.

Plus personne, ou presque, ne pense que voter peut changer significativement sa condition, a fortiori celle du monde.

C'est bien connu, les bourgeois ont toujours eu la conscience étroite. Ils s'accommodent de la morale individuelle conventionnelle pour mieux refuser la morale sociale et politique.

La nature, le soleil, l'enfance poursuivent leur chemin sans se soucier de nos souffrances.

Quand au bout d'un chemin, tes projets risquent de tomber à l'eau, il est encore temps de rebrousser chemin.