Il faut aimer les gens, les objets, les traces de l'émotion pour percevoir ce monde plein d'ingéniosité et d'émotion.

La mort est un vêtement que tout le monde portera.

Plus de propriété individuelle, la Terre n'est à personne, les fruits sont à tous le monde.

Le monde est un chaudron, l'homme est la cuillère qu'on y trempe.

J'étais nerveux. Je veux dire, j'avais rencontré les Beatles, Elvis et tout le monde, mais c'était Salvador Dalí. C'était comme mon histoire.

Peut-être la bicyclette, dans ce monde de machines, était-elle à nos yeux une héritière du cheval ?