On se dit : "j'aime la France", et en même temps, on ne peut pas aimer un pays qui nous brime autant. En même temps, il faut vivre et avancer.

Faute de pouvoir vivre davantage, elle se disposait à aller voir si Dieu gagne à être connu.

J'imaginais la peinture se mettant à saigner. Blessée de la manière dont les gens peuvent être blessés. Pour moi la peinture devenait une personne avec des sentiments et des sensations.

Aimer une personne pour son apparence, c'est comme aimer un livre pour sa reliure.

Plus on est semblable à tout le monde, plus on est comme il faut. C'est le sacre de la multitude.

Nous ne sommes peut-être pas en mesure d'arrêter le mal dans le monde, mais la façon dont nous traitons notre prochain nous revient entièrement.