La politique : plus ça change, plus c'est la même chose.

Pourquoi ne pas agir envers les autres comme chacun voudrait que l'on agisse envers lui-même ?

Celui-là n'aime pas véritablement qui n'aime pas jusqu'aux défauts de l'être aimé.

Une partie de ce que j'aime à propos du vieillissement est de réaliser qu'il y a quelque chose de parfait dans l'imperfection. C'est très humain.

On ne manque de rien quand on n'aime rien.

Pas de mari, pas de couple, pas de famille. Comment peut-on être deux, pourquoi n'est-on pas tous à chacun ?