Pourquoi faut-il donc ériger des barrières face à l'explosion de nos sentiments ; pourquoi l'être aimé ne pourrait-il pas lire en nous comme dans un livre ouvert les pensées nobles et généreuses qui nous animent ?

On voit que le vent ne sait pas lire quand il feuillette les pages d'un livre à l'envers.

Au moment où vous écrivez les derniers paragraphes, le livre vous témoigne une certaine hostilité dans sa hâte de se libérer de vous.

La nécessité nous délivre de l'embarras du choix.

Un livre, c'est déjà une borne.

Apprenez qu'un bon livre ne donne jamais ce qu'on peut attendre. Il doit vous hérisser de points d'interrogation.