La souffrance en soi est une absurdité, c'est seulement l'homme dans la souffrance qui peut prendre de la valeur ou se défaire.

A certaines heures de la vie, la persécution de l'adversité est si grande que l'on ne peut plus en ressentir les coups. On vit, ou mieux on se laisse vivre comme si la vie s'était retirée de nous et qu'un souffle de mort continuait de nous animer.

Dieu a dit : "Je partage en deux, les riches auront de la nourriture, les pauvres de l'appétit."

Quand Dieu donne le mal, il donne aussi le remède.

Un imprimeur est un homme qui ne manque pas de caractère et qui cherche à faire bonne impression.

Si Dieu est retenu ailleurs, ou s'il n'est que médiocrement intéressé par le déroulement de l'insignifiante aventure humaine, pourquoi nous acharner à arracher le masque consolateur dont il couvre pour nous le visage de son éternelle absence ?