La mode britannique est confiante et sans peur. Elle refuse de s'incliner devant le commerce, générant ainsi un flux constant de nouvelles idées tout en tirant sur le patrimoine britannique.

Les grands esprits discutent des idées ; les esprits moyens discutent des événements ; les petits esprits discutent des gens.

Les écrivains médiocres rendent leurs idées, mais ne les expriment pas.

Comme le corps s'accroît par les aliments, notre esprit s'accroît par les idées.

C'est pas avec des idées poétiques qu'on fait une révolution.

Nos idées morales naturelles et frustes, au lieu de fournir un remède à la partialité de nos affections, s'accordent plutôt avec cette partialité et lui donnent un supplément de force et d'influence.