Ce monde ne mourra pas d'une bombe atomique, comme le disent les journaux, il mourra de rire, de banalité, en transformant tout en farce et, de plus, en mauvaise farce.

L'avantage de la mauvaise mémoire est qu'on jouit plusieurs fois des mêmes choses pour la première fois.

Parole de critique : une première impression est toujours la bonne, surtout quand elle est mauvaise.

Demain sera ce que nous en ferons ; aucun sort ne nous a été jeté qui nous rendrait incapables de produire une humanité pacifié. Encore faut-il qu'elle soit sincèrement et unanimement désirée.

Bonne ou mauvaise santé fait notre philosophie.

Aimons la neige ! Sinon, nous risquerions de briser notre équilibre poétique et d'oublier notre condition humaine.