À la mort de ma mère, j'avais totalement perdu confiance en moi. Je culpabilisais sans cesse. J'étais souvent repliée sur moi-même. J'avais tendance à vivre dans le regret, incapable de prendre des décisions de peur de me tromper.

Il est préférable de se faire tuer à coups de bâton que de mourir de peur.

La peur a détruit plus de choses en ce monde que la joie n'en a créées.

Je ne veux ni gémir sur le passé qui n'est plus, ni rêver follement de l'avenir qui n'est pas. Le devoir de l'homme se concentre sur un point, l'action du moment présent.

Les peuples n'ont jamais que le degré de liberté que leur audace conquiert sur la peur.

Le présent touche toujours, sans comparaison, davantage les âmes faibles que l'avenir même le plus proche.