Bien des malheurs, en ce bas monde, viennent de ce que les femmes songent au mariage, et les hommes à autre chose.

Accéder à la béatitude : il n'y a pas d'autre raison de philosopher.

La présence des autres est créatrice de violence. Car les autres sont au moins deux : l'un devient rival, l'autre l'objet de la rivalité.

Notre vision du monde, notre façon d'aborder l'autre, notre manière de nous comporter dans notre vie sociale, tout cela est religieux.

Ce qui est une nourriture pour l'un, est un poison pour l'autre.

Plus on comprend ce que l'on est, plus on est capable de donner naissance à quelqu'un d'autre.