C'est si difficile de vivre quelquefois, la mort nous semble d'une douceur infinie, un grand repos, une douce quiétude, le vide, le néant et puis plus rien.

Le cinéma américain reproduit à l'infini une image héroïque de l'homme qui doit vaincre une menace extérieure pour continuer à vivre en paix.

On prend tout pour des chagrins d'amour quand on est jeune et qu'on ne sait pas.

Les aspirations de l'homme à la liberté doivent être maintenues en pouvoir de se recréer sans cesse ; c'est pourquoi elle doit être conçue non comme état mais comme force vivre entraînant une progression continuelle.

Celui-là n'est pas mort quand sa pensée, avec toute sa force et sa sagesse, demeure vivante près des vivants.

L'amour non payé de retour, c'est question sans réponse.