Mon enfance, c'est un poison que j'ai dans le sang et y a que quand je serai morte que j'en souffrirai plus.

La plaisanterie est une sorte de duel où il n'y a pas de sang versé.

Moins de haine, moins de guerre, Moins de larmes et moins de sang, Moins d'espoir d'être puissant, Moins de pouvoir et moins d'argent, Et plus de sentiments.

Cela ne me dérange pas si ma vie est au service de la nation. Si je meurs, chaque goutte de mon sang vivifiera la nation.

Mes ennemis dans le viseur, goût d'mon sang sur les lèvres.

Je ne tomberai pas. J'ai atteint le centre. J'écoute le battement d'on ne sait quelle horloge divine à travers la mince cloison charnelle de la vie pleine de sang, de tressaillements et de souffles. Je suis près du noyau mystérieux des choses comme la nuit on est quelquefois près d'un coeur.